Une politique culturelle pour le Québec
Dans l’histoire du ministère des Affaires culturelles, on dit souvent qu’il
existe «l’avant-Liza (ou l’avant-Frulla) et l’après-Liza (ou l’après-
Frulla)». Non pas qu’on rejette les Lapalme, L’Allier, Laurin et autres
Vaugeois ou Bacon, dont on reconnaît l’évident apport au développe-
ment culturel du Québec, mais l’importance de la politique culturelle
de Liza Frulla adoptée en juin 1992 est telle qu’elle a transformé dura-
blement le rôle du ministère. Son effet d’entraînement s’est avéré consi-
dérable et perdure aujourd’hui. (P.176)
