La culture pour se faire la main
Sans une première politique du livre, le bilan de François Cloutier serait
désastreux, inexistant. Pas étonnant puisqu’il s’agit de celui d’un homme
qui avoue lui-même dans ses mémoires oraux du 17 décembre 2006,
trente ans après son départ, avoir été «ravi qu’on me donne les affaires culturelles, petit ministère pour m’initier à la politique ». (P. 79)
