Pendant que le triste sire Michael Applebaum entame son enquête préliminaire, voici les conclusions que je tirais de son élection à la mairie intérimaire de Montréal l’automne dernier. Ce court extrait de mon livre DE LA CRISE D’OCTOBRE AU PRINTEMPS ÉRABLE se trouve à la page 293. Je me permets cette citation sans autres commentaires.
«Deux ans après ces événements, je demeure estomaqué par la facilité avec laquelle Michael Applebaum a dupé tout le monde. Me reviennent à la mémoire certains articles dithyrambiques que la presse montréalaise lui a consacrés au cours de ces quelques journées de novembre. Je n’arrive toujours pas à croire qu’une femme politique de la trempe de Louise Harel, que j’admire profondément, n’y a vu que du feu. Et qu’un homme politique d’un naturel aussi soupçonneux que Richard Bergeron soit tombé dans le piège avec une telle facilité. Il est vrai que le pouvoir dégage un fumet qui rend parfois dingue…»